Le marin délaisse le navire...

Du grand large au cabotinage, il rejoint définitivement la côte. Humant l'air océanique au parfum de nostlagie, le vent fouette son visage et réveille la mémoire. Moins polémique, moins superficiel peut-être, c'est une plongée dans l'intime, la douceur et la douleur. Dans cette escale nulle crainte de la houle et du vent de terre, une stabilité au moins temporairement retrouvée : il est temps d'ouvrir les malles. Ca se passe ici.