2006 a pris fin à la station Stalingrad alors que je lisais "Voyage au bout de la nuit". Les passagers du métro 5 se sont mis à hurler et s'embrasser à partir de Jaurès. Un peu comme si on avait battu les Italiens à la coupe du Monde. Je suis sorti à Hoche et il pleuvait toujours dehors. Un parfait inconnu m'a souhaité une excellente année 2007. Le con. Je ne lui ai rien répondu. J'ai décidé d'être plus poli cette année.