Le Deejay enflammait le dancefloor via un mix post industriel de Laurent Garnier. Bousculade de basses et bousculades tout court. Un déséquilibriste avait renversé sa margarita sur mon portefeuille et mes business cards présentaient désormais de magnifiques auréoles assez proches du logo. Ce n'était pas si grave : je mutais le 5.